Vous cherchiez peut-être les paroles de
toutes les chansons de Tryo ??? Hé bien ! vous les avez trouvées…
Mamagubida …faut qu’ils s’activent…
Mamagubida
(paroles et musique : Guizmo)
Pour un flirt avec la crise
(paroles et musique : Mali)
C’est du roots
(paroles et musique : Manu)
Salut ô !
(paroles et musique : guizmo)
(paroles et musique : Mali)
(paroles et musique : Guizmo)
(paroles et musique : Guizmo)
Un homme qui aime les femmes
(paoles et musique : Mali)
(paroles et musique : Guizmo)
(paroles et musique : Mali)
Guizmo Mali Manu Mali+Manu
(paroles et musique : Guizmo)
Qu’est-ce qu’il faut faire ?
Mais qu’est-ce qu’il faut faire ?
Mais qu’est-ce qu’on peut faire ?
Mais qu’est-ce qu’il faut faire ?
Mais qu’est-ce qu’on peut faire ?
Mais qu’est-ce qu’il faut faire ?
Qu’est-ce qu’il faut faire pour court-ciruiter ?
Qu’est-ce qu’il faut faire pour court-ciruiter lô?
Qu’est-ce qu’on peut faire pour court-ciruiter lô?
Qu’est-ce qu’on peut faire pour court-ciruiter lô ?
Qu’est-ce qu’il faut faire pour court-circuiter ?
Que faire pour court-circuiter la conspiration
Qui fait que comme d’habitude je vis au fil des saisons ?
Filin tendu en vue, que mes rêves soient illusions
J’déboulerais bien pour de bon vos montagnes de millions
Mais bon, y’a bien ma bagnole et mon chien,
le biberon du bébé, l’babysitter qui vient demain,
La bouffe, le loyer, la banque à rembourser,
Babylone ma bien-aimée c’est pour toi que j’vais bosser.
Mais bon, y’a bien cette chose que j’ai en moi,
Tu ne peux pas la toucher, y’a que moi qui la vois,
Vision virtuelle venant des vents les plus lointains,
Je suis vivant et en rêvant j’vois la vie comme elle vient
Le rêve commence… Le rêve
commence…
Le rêve commence… Le rêve commence…
Le rêve commence… Le rêve commence
Le rêve rêve rêve rêve rêve rêve… Vas-y rêve !
Le rêve commence… Je vole vite très bien vroum vroum !
Pas de volant, les virages se négocient bien
Bien, voilà que maintenant, un voilier me prend,
Et c’est aux voiles dans le vent que je voyage à présent
Je n’ai pas vu de violence
Tu as eu de la chance
Je n’ai pas vu de violence
Ah, sûrement pas en France
Je n’ai pas vu de violence
Tu as eu de la chance
Je n’ai pas vu de violence
Danse, danse, danse
Je n’ai pas vu de violence, de voitures de ville
Et c’est en transes que je poursuis mon exil
Je vis ! je vois, j’oublie les imbéciles,
Et c’est là qu’au loin j’aperçois une île… Yes !
Très vite je m’approche,
Sur l’eau je ricoche,
Et pof ! j’atteris devant le sourire d’un mioche
Dans sa main, un morceau de brioche,
A côté de lui un chien qui renifle ses poches Ouah !Ouah !
Ici tout est bien, quand même mieux qu’au cinoche,
L’air qu’on respire est sain !
Personne ne roule en Porsche
On est chez quelqu’un que je sais apprécier !
Il est dans mes rêves depuis des dizaines d’années, des dizaines d’années
On est chez mon frère, on est chez mon frère
Celui qui jamais nous envie, jamais jamais
Celui qui aime la terre, lô !
Qui a les enfants pour amis
Lui, il sait se taire il sait se taire
On écoute ce qu’il dit,
Car jamais jamais jamais de sa bouche n’apparaît le mépris
L’humour est son petit frère, l’amour son aîné,
Son nom représente la terre :
Il s’appelle Yakamonéyé
Yakamonéyé !
Chez Yakamonéyé, non non, y’a pas de monnaie
Y’a pas de barbelés, nan nan, pour t’empêcher d’entrer
Y’a pas mal de mouflets, hé chez Yakamonéyé
Un peu de succès, beaucoup de liberté !
Mais qu’est-ce qu’on va manger, maman, mais qu’est-ce qu’on va planter ?
Y’a pas d’quoi s’inquiéter, nan nan, chez Yakamonéyé
Y’a pas de monnaie, chez Yakamonéyé
Y’a pas mal de mouflets, et c’est bien les mouflets
Je rêve, oh je rêve, oh oui je rêve,
je fais que ça mon frère, tu vois
Je rêve, oh oui je rêve, je rêve, je rêve,
Je rêve, je rêve, je rêve,
Je rêve rêve rêve rêve rêve… Emmène-nous avec toi !
Je rêve, oh oui mon frère, ça vaut tous mes mois d’salaire,
A côté le repaire où j’mène une vie pépère
J’irai faire le monde à mer ! et même si j’y reste fier !
J’aurais du mal à refaire tout c’qui va de travers
Alors j’traverse les océans,
Pour trouver ce monde d’enfants,
Fonçant comme un dément vers ces gens plus cléments
J’y reste quelques temps, tant que je peux y rester
Et quand le réveil sonne j’ai l’énergie pour lutter
Car j’ai été chez mon frère,
Celui qui jamais nous envie
Celui qui aime la terre, lô !
Qui a les enfants pour amis
Lui, il sait se taire, il sait se taire
On écoute ce qu’il dit, ce qu’il dit
Car jamais jamais jamais de sa bouche n’apparaît le mépris
L’humour est son petit frère, l’amour son aîné,
Son nom représente la terre : il s’appelle Yakamonéyé
Yakamonéyé !
Chez Yakamonéyé, nan nan, y’a pas de monnaie
Y’a pas de barbelés, nan nan, pour t’empêcher d’entrer
Y’a pas mal de mouflets, et chez Yakamonéyé
Un peu de succès, beaucoup de liberté !
Quand est-ce qu’on va manger, nan nan, qu’est-ce qu’on va planter ?
Y’a pas d’quoi s’inuiéter, maman, chez Yakamonéyé
Y’a pas de barbelés, chez Yakamonéyé
Y’a pas mal de mouflets, et c’est bien les mouflets
IMPROVISATION
(que faire que faire… pour
court-circuiter… qu’est-ce qu’il faut faire…
Chez Yakamonéyé…
Un peu de succès, beaucoup de liberté)
Je rêve, oh oui je rêve, je rêve rêve, oui je rêve,
je rêve, oh oui je rêve, je rêve rêve rêve, oh oui je rêve, je rêve
je fais qu’ça tu vois je rêve, je rêve, je rêve, je rêve rêve rêve rêve,
je rêve, je rêve, je rêve, je rêve,
je rêve, je fais qu’ça, tu vois, je rêve,
je rêve, faut rêver, tu vois, je rêve,
faut rêver, tu vois, je rêve,
faut rêver, tu vois, je rêve,
faut rêver, tu vois, je rêve,
faut rêver, tu vois, je rêve,
faut rêver, tu vois, je rêve,
faut rêver, tu vois, je rêve,
faut rêver, faut rêver, faut rêver,
faut rêver, faut rêver, faut rêver
Ouh…ah…aïe aïe aïe…
Je rêve, oh oui mon frère, ça vaut tous mes mois d’salaire,
A côté le repaire où j’mène une vie pépère
J’irai faire le monde à mer, et même si j’y reste fier !
J’aurais du mal à refaire tout c’qui va de travers
Alors j’traverse les océans,
Pour trouver ce monde d’enfants,
Fonçant comme un dément vers ces gens plus cléments
J’y reste quelques temps, tant que je peux y rester
Et quand le réveil sonne j’ai l’énergie pour lutter
Car j’ai été chez mon frère, été chez mon frère
Celui qui jamais nous envie, jamais nous envie
Celui qui aime la terre, lô !
Qui a les enfants pour amis
Lui, il sait se taire, sshut !
On écoute ce qu’il dit,
Car jamais jamais jamais de sa bouche n’apparaît le mépris, nan…
L’humour est son petit frère, l’amour son aîné,
Son nom représente la terre : il s’appelle Yakamonéyé
Yakamonéyé !
Chez Yakamonéyé, nan nan, y’a pas de monnaie
Y’a pas de barbelés, nan nan, pour t’empêcher d’entrer
Y’a pas mal de mouflets, et chez Yakamonéyé
Un peu de succès, beaucoup de liberté !
Quand est-ce qu’on va manger, maman, qu’est-ce qu’on va planter ?
Y’a pas d’quoi s’inquiéter, nan, chez Yakamonéyé
Y’a pas de monnaie, y’a pas de monnaie, y’a pas de monnaie chez Yakamonéyé
IMPROVISATION
(chez Yakamonéyé…
qu’est-ce qu’il faut faire…)
(paroles : Bob Diaz - musique : Guizmo)
(paroles et musique : Guizmo)
(paroles et musique : Guizmo)
(paroles et musique : Guizmo)
Merci à Karole d’avoir eu la patience et la gentillesse de me scanner tout ça…